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Le périodique est une publication de district dont les articles s'articulent autour d'un thème commun. Vous y trouverez des descriptions de nos derniers livres et des sujets tels que la spiritualité, la culture chrétienne, l'histoire, la foi et la morale, ainsi que des nouvelles de Tradition écrites par divers auteurs. Vous y trouverez également des informations sur les activités et les événements organisés dans tout le Canada.
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La vertu de force est l’une des quatre grandes vertus cardinales. Cela signifie qu’elle aide chaque vertu à exercer ses actes, surtout quand cela devient ardu. C’est l’objet même de cette grande vertu : le bien ardu ou difficile. Et son acte suprême, c’est le martyre.
Un des sujets qui tenait le plus à cœur à Monseigneur Lefebvre et sur lequel il revenait souvent dans ses conférences spirituelles était le sujet de la grâce sanctifiante, de ce monde surnaturel dans lequel l’homme a été établi dès l’instant de la création. Il n’y a jamais eu un instant où le premier homme a existé à l’état naturel pur, indépendant de la vie de Dieu, sans relation avec une destinée éternelle. Ainsi depuis le premier instant de la vie humaine, tout homme est en relation avec la grâce, soit en étant en état de grâce, soit en étant privé de la grâce, il n’y a pas d’autre état humain possible. Le péché originel est une privation de la grâce héritée de nos premiers parents, le péché mortel est une privation volontaire de la grâce.
Dans son Itinéraire Spirituel, Mgr Lefebvre compare le Concile Vatican II et ses réformes à une troisième guerre mondiale qui fit encore plus de dommages que la Révolution Française « en facilitant la ruine des institutions chrétiennes et la domination de la Franc-Maçonnerie ». Or, c’est la Nouvelle Messe qui inocula le virus mortel des idées novatrices du Concile dans toutes les paroisses et communautés religieuses.
« Sans l’effusion du sang, il n’y a pas de rémission. » (Héb., IX, 22) Nous constatons une désorientation phénoménale des esprits quant à la notion de justice. Par exemple, avec l’avortement et l’euthanasie, on tue des innocents, et, en abolissant la peine de mort, on laisse vivre les coupables... En plus de la perte de la notion de justice, et d’injustice, il y a une perte radicale de la notion du bien commun, essen- tielle à toute société.
Parler de sectes revient à parler de l’orgueil, car la foi est avant tout une soumission humble : « Nous assujet- tissons toute pensée à l'obéissance du Christ » proclame saint Paul (2 Cor., X, 5), et l’histoire de toutes les sectes en est une d’insoumission, de volonté d’indépendance. Non serviam !
À la suite de son saint Fondateur qui "passa en faisant du bien", partout où l'Église Catholique s'est implantée depuis 2000 ans, elle a rayonné par la sainteté de ses œuvres de miséricorde - tant spirituelles que corporelles - qui tranchent dans notre monde païen comme la lumière tranche sur les ténèbres, la vie sur la mort.
S’il est une science méconnue, oubliée de nos catholiques, même traditionalistes, et combien nécessaire aujourd’hui, c’est bien l’apologétique. Cet outil apostolique sait utiliser tous les moyens rationnels, la science, l’histoire, l’archéologie, pour prouver qu’il est raisonnable de croire tant dans la divinité de Notre-Seigneur Jésus- Christ que dans sa seule Église, l’Église catholique et romaine, seule arche de salut.
« Me voici, Seigneur ! Que voulez-vous que je fasse ? » Voilà la clé de toute réponse à l’appel de Dieu : quelle est la volonté de Dieu sur moi, dans ma vie ? La vocation, c’est quelque chose de très mystérieux : ce peut être aussi délicat que le rayon de soleil qui se pose sur une fleur, qu’un léger murmure de la brise qui caresse un visage, et ce peut être aussi un coup de foudre jetant en bas d’un cheval.
« Le diable cherche à voler notre volonté », disait Padre Pio. Et il savait de quoi et de qui il parlait tant par ses luttes directes avec cet ange déchu que par les centaines de milliers de pénitents qu’il entendit en confession. En fait, ce que l’on constate en entendant les faiblesses morales, les luttes intérieures des gens, c’est précisément cette perte de volonté à vouloir sortir du mal, à prendre les moyens pour vaincre ses mauvaises habitudes, pour briser ces ‘chaînes du péché’, les ‘vincula peccatorum’, comme dit la liturgie.